Quand la formation-développement se conjugue au féminin pluriel !

D’abord, il y a Karell et Johanne.

Elles portent ensemble le projet de créer, à Langogne (48), un lieu hybride, multiple, propice aux rencontres, où chacun.e se sentirait comme à la maison, dans un ambiance conviviale et simple.

Elles imaginent déjà : l’épicerie vrac, le restaurant, le coffee-shop et ses gourmandises, la librairie spécialisée dans l’écologie, l’éducation, le vivre-ensemble, l’espace partagé type « coworking » …

 

Elles prônent une autre approche du commerce, pour humaniser l’accueil et les relations étroites qu’elles espèrent nouer avec leur clientèle et leurs partenaires, transmettre des valeurs et promettre un lieu tel une bulle de lien social. Karell s’est formée à la vente en vrac, mais leur projet va aujourd’hui au-delà de leur idée de départ, rendu possible dans la maison dont Johanne est propriétaire.

 

Leurs cibles principales sont les habitants, permanents ou secondaires, actifs ou étudiants, et les randonneurs de passage pour une étape prisée sur le si beau Chemin de Stevenson.

 

Bien qu’expérimentées dans la vente, l’accueil, la cuisine… elles ont exprimé le besoin d’être guidées dans les différentes étapes du montage de leur projet pour en appréhender toutes les facettes.

 

Ensuite, il y a Marina.

Elle est chargée de mission pour l’Association Terres de Vie en Lozère. Toujours à l’écoute des initiatives prises sur le territoire, elle accorde une oreille attentive au projet de Karell et Johanne et identifie rapidement tout son potentiel pour Langogne. Marina juge qu’un accompagnement leur serait précieux pour avancer sereinement dans les différentes étapes de leur projet entrepreneurial. Elle se tourne alors vers l’Adefpat.

 

Et l’Adefpat en Lozère, c’est Emilie.

Conseillère en formation-développement, Emilie, aux côtés de Marina, va approfondir l’analyse des besoins d’accompagnement de Karell et Johanne, identifier les sujets sur lesquels elles ont besoin de monter en compétences, de gagner en autonomie. Emilie n’a qu’un mot à la bouche à cette étape : l’ancrage territorial du projet. Elles réunissent donc un Groupe d’Appui au Projet autour de Karell et Johanne pour s’assurer du meilleur soutien possible de leur projet par les partenaires locaux.

 

C’est au tour de Christine d’entrer dans la danse.

Sur la base d’un cahier des charges élaboré par Emilie, Christine a été retenue pour mener à bien l’accompagnement en formation-développement de Karell et Johanne. Consultante-formatrice, elle aura pour mission « d’accompagner à faire », en leur apportant la méthode, le rythme, en posant des objectifs, mais elle ne fera jamais à leur place, les laissant s’approprier chacune des étapes, chacun des outils, les laissant prendre leurs décisions en connaissance de cause.

 

Marina et Emilie suivent de près l’avancée de leurs travaux qui ont débuté en janvier 2024, pour plusieurs mois encore. Mais déjà une offre se dessine, un modèle économique se précise, de nouvelles questions se posent, les devis arrivent, le benchmark porte ses fruits… Les briques s’agencent et le projet se façonne à leur image, généreuses, passionnées, attachantes, déterminées.

 

Bon quand même, il y a aussi Jean-Marc.

Elu bienveillant à Langogne, il se démène pour soutenir le projet de Karell et Johanne au Conseil d’Administration de l’Adefpat, pour mobiliser le partenariat et faciliter leurs démarches.

 

Allez, d’ici quelques mois, vous aurez une nouvelle bonne raison d’aller à Langogne !

 

Accompagné par Christine SCHOENDORF

En partenariat avec l’Association Terres de Vie en Lozère

Financé par BPI France Création et le FSE