Pour commencer l’année, nous avons pris une bonne résolution : on vous dit tout sur l’ours de l’Adefpat.
Mais non, on ne s’est pas lancé dans la création d’un zoo sur le Causse… L’ours, vous savez, le petit encadré dans un journal qui liste le nom des personnes ayant contribué au numéro (si vous voulez briller en société, voir la note de bas d’article*).
Nos lecteurs les plus assidus l’auront peut être remarqué, la ligne éditoriale de la newsletter de l’Adefpat est parfois… flottante. Style, approche, longueur d’article varient d’un article à l’autre.
Eh bien ça, c’est parce que le comité de rédaction ne compte pas moins de 12 personnes.
Et à l’Adefpat, on laisse le style de chacun s’exprimer, voilà.
Alors qui se cache derrière la rédaction des articles ?
Pantxo, si c’était un objet ce serait un plaid… Il vous raconte de longues et belles histoires qui vous embarquent direct, comme si vous étiez au coin du feu… et en général, à la fin, les histoires de formation-développement finissent bien.
Audrey, si c’était un objet ce serait un nez rouge. Elle aime bien faire des blagues et elle écrit comme elle parle dans la vraie vie (avec les fautes en plus).
Virginie, si c’était un objet ce serait un cœur en peluche. Ses assos, elle les aime, elle met en avant toutes leurs qualités et défend leur rôle dans notre société.
Bruno, si c’était un objet ce serait une machette. Il coupe, il élague, il va direct à l’essentiel, parfait pour les lecteurs pressés.
Pascal, si c’était un objet ce serait une loupe. Il dissèque les compétences acquises, le rôle du GAP, le signal faible caché dans une publication. Rien ne lui échappe.
Marlène, si c’était un objet ce serait un puzzle. Ce qu’elle n’oublie jamais, ce sont les partenaires, qui a fait quoi, a joué quel rôle… Elle assemble toutes les pièces pour vous donner à voir.
Emilie, si c’était un objet ce serait une plume. Un style irréprochable, une grammaire parfaite, une orthographe sans tâche… au service de beaux projets.
François, si c’était un objet ça serait un calepin. Le plus journaleux d’entre nous, les infos sont claires, accessibles et complètes… dans les règles de l’art, quoi.
Manon, si c’était un objet ce serait un ciseau. Spécialiste des résumés de longues études, elle coupe, elle trie pour ne retenir que l’essentiel… et vous faciliter la tâche.
Bénédicte, si c’était un objet ce serait un manuel de survie en milieu hostile. Elle n’oublie de développer aucun acronyme, n’omet aucun financeur, est précise dans ses sources.
Virginie, si c’était un un objet ce serait une bouteille de champagne. Les idées fusent, le style est pétillant, on finit la lecture de bonne humeur !
L’intelligence artificielle, si c’était un objet… ben ça en est un. Et on l’utilise parfois comme tel, il nous aide à reformuler, à faire des accroches, à générer des images. Mais dans ce cas là, on vous le dit !
On espère que la plongée dans les coulisses de la newsletter vous a plu.
Alors, d’après vous qui a écrit cet article ? 😉
*Le terme « ours » serait à l’origine un surnom donné à l’imprimeur au XIXe siècle. L’« ours » désignait le compagnon pressier, en raison de ses supposés mouvements lourds pour encrer les formes, tandis que le typographe, qui levait les lettres et les disposait sur son composteur, était appelé « singe ».
Image générée par une IA… Vous l’auriez deviné, non ?